En série ou en parallèle

Les industries automobiles utilisent différentes technologies, mais les principaux composants restent les mêmes. Il existe un système en série qui permet au moteur électrique de propulser les roues en utilisant la puissance transmise par le moteur thermique. Le moteur thermique est relié en série au moteur électrique. Ce système est composé d’un générateur, d’une batterie et d’un inverseur. À faible vitesse, la partie thermique est utilisée en intermittence pour alimenter la partie électrique ou pour recharger la batterie. Mise à part les modèles en série, les deux moteurs sont montés en parallèle. Ici, il n’est plus question de bosser à tour de rôle, le travail se fait conjointement pour faire déplacer le carrosse.

Les écarts de prix

Une voiture à motorisation hybride, rechargeable ou pas, a un coût de détention largement plus élevé qu’une voiture diesel durant l’année 2018. Car l’acheteur ne bénéficie pas d’un bonus d’achat comme pour le véhicule électrique. En plus l’écart de consommation d’énergie n’est pas tout à fait significatif pour apporter un avantage compétitif.
Par contre, l’hybride rechargeable, pour le cas des SUV (véhicules utilitaires sport), la compétition est plus importante. Le coût de détention d’un SUV hybride rechargeable est inférieur par rapport à un SUV de type diesel.
Au niveau du coût du carburant, l’hybride rechargeable est largement inférieur vis-à-vis du diesel, de l’essence et du gaz de pétrole liquéfié (GPL). Par ailleurs le coût du financement d’une voiture hybride rechargeable reste très élevé, du coup le gain sur le carburant par rapport à un diesel ne permet pas de combler les surcoûts.

Vous désirez changer de voiture et vous avez choisi un modèle d’occasion ? Voici quelques recommandations pour vous aider à faire le bon choix selon vos besoins et votre budget.

Faire une liste des paramètres qui vont orienter votre choix

Cette liste est très importante pour déterminer le modèle qui vous convient. D’abord, vous devez établir un budget précis, puis le type de véhicule que vous désirez, par exemple une berline, une citadine ou un monospace, et le choix du carburant, diesel, essence ou hybride ? Ensuite, vous devez aussi préciser la boite de vitesse qui vous convient : manuelle ou automatique ? Et finalement, il y a la date de mise en circulation du véhicule et son kilométrage maximal.

Que choisir : vendeur professionnel ou vendeur particulier ?

Après avoir déterminé le modèle de voiture que vous devriez chercher et votre budget, vous devez choisir entre un vendeur professionnel et un vendeur particulier. En achetant auprès d’un vendeur professionnel, vous aurez l’avantage de jouir d’une garantie d’au moins 3 mois après l’achat, notamment en cas de mauvais fonctionnement de la voiture ou casse de moteur ou autre. En choisissant d’acheter auprès d’un particulier par contre, vous pourrez négocier et obtenir un meilleur prix.

Les choses essentielles à connaitre lors de l’achat d’une voiture d’occasion

Avant d’acheter une voiture d’occasion, vous devez poser quelques questions importantes au vendeur. Vous devez par exemple lui demander l’usage principal de la voiture, la raison pour laquelle il la met en vente et s’il s’agit d’une première main. Vous devez aussi connaitre la date de la mise en circulation du véhicule, son kilométrage, la date de ses dernières réparations et son prix d’achat à neuf. Il est important de savoir si la voiture a été déjà accidentée et si de ce fait elle comporte des défauts.

Les points à vérifier avant d’acheter une voiture d’occasion

Pour être sûr que le véhicule est encore de bonne qualité, vous devez vérifier quelques points comme l’état de sa carrosserie, de ses sièges et plastiques, de ses éclairages, de ses rétroviseurs et de ses vitres. Vous devez vérifier le fonctionnement du verrouillage du véhicule, de son essuie-glace, du dégivrage, du système audio et l’usure des pneus. Puis, n’oubliez pas de contrôler la mise en route du moteur, l’accélération, le déclenchement du turbo, la dureté de l’assistance de direction, les bruits et vibrations, les fuites, le système de freinage, l’ABS et les airbags.

Les documents que le vendeur doit vous fournir lors de l’achat d’une voiture d’occasion

Durant l’achat d’une voiture d’occasion, le vendeur doit vous remettre des papiers importants, dont le certificat de non-gage qui conforme que la voiture lui appartient vraiment, la carte grise, le certificat d’immatriculation, le contrôle technique qui doit dater de moins de 6 mois, le carnet d’entretien du véhicule et le certificat de cession.

Une revente rapide

C’est la solution la plus avantageuse dans le cas vous auriez pu bénéficier d’une remise importante lors de l’achat de votre voiture neuve. Si vous décidez de revendre votre voiture dans les 12 mois qui suivent son achat, vous pourrez réduire la perte d’argent parce que votre véhicule pourra encore jouir de « l’effet nouveauté. »

Une revente après quatre ou cinq ans

Au bout de 4 à 5 ans, il est certain que votre véhicule ne subit encore les années d’importantes décotes et son kilométrage ne dépassera pas les 100.000 km. Dans ce cas, elle représente encore un adorable capital. C’est la période propice pour la revendre parce qu’après une telle durée de vie, les risques de réparations de grandes envergures apparaissent en général comme le remplacement de la courroie, des bras, de la boîte de vitesse.

Une revente le plus tard possible

Vous devez savoir qu’une vieille voiture ne décote quasiment plus. Vous pourrez à cet effet prendre la décision de la mettre en vente après sa complète rentabilisation. Cependant, cette alternative n’est bénéfique que pour les marques et modèles les plus prisés par les amateurs de voitures d’occasion pour ne citer que la Golf IV, la Mercedes Classe C ou le Renault Espace. Ces quelques modèles peuvent être revendus à des prix intéressants.

Apprêter la moto

La première qu’il faut faire lorsqu’on souhaite monter sur ses deux roues sous la pluie c’est de bien préparer sa moto. Il est indispensable que l’engin soit en parfait état. Pour ce faire, il faut vérifier l’usure des pneus et leur pression, l’état du système de freinage et les suspensions.

S’équiper convenablement

Avant de prendre la route, il faut aussi s’assurer qu’on soit dans les meilleures conditions possible. Il est alors avant tout nécessaire de bien rester au sec. En effet, on ne peut pas être au meilleur de notre performance en conduite lorsqu’on grelotte de froid. Il faut alors toujours prévoir une veste fine de pluie ainsi qu’une paire de gants bien étanches. Il ne reste plus qu’à enfiler un casque avec une visière antibuée pour être prêt à prendre la route.

Savoir repérer les pièges pour pouvoir les éviter

Sur la route, il existe de nombreux pièges classiques qui risquent d’entraîner des accidents lorsqu’on conduit une moto sous la pluie. En les connaissant, on ne court pas le risque de se faire surprendre. Il faut donc savoir repérer les surfaces glissantes (plaques d’égout, pavés, flaques de gasoil, etc.) et les zones d’ombres (les zones qui semblent être sèches après la pluie, mais qui ne le sont pourtant pas). Il faut également faire attention au vent puisqu’il y a de fortes chances qu’il accompagne la pluie.

S’accorder des pauses de temps en temps

On se fatigue beaucoup plus vite lorsqu’on conduit une moto sous la pluie que pendant les beaux temps. En effet, le conducteur ressent une fatigue physiquement que mentalement. Il ne faut donc pas se presser. Il faut plutôt savoir être à l’écoute de son corps et se reposer régulièrement sur la route, notamment lorsqu’il s’agit d’un long trajet.